Dans notre monde d’aujourd’hui, la technologie a atteint un niveau très élevé et cela ne cesse de se développer de plus en plus rapidement et d’une manière encore plus sophistiquée. 

Cela pourrait être bon pour notre monde puisque cela rend notre vie apparemment plus facile: nous pouvons voyager à travers le monde en un temps encore inimaginable il y a un siècle, nous pouvons acquérir des connaissances inouïes et nous connecter à des personnes de l’autre bout du monde. Nous pouvons aider nos frères et sœurs qui souffrent où qu’ils soient, nous pouvons sauver des vies. Nous devons en tirer profit.

Pourtant, ce grand avancement de la technologie n’est pas sans risque: nous pouvons en devenir dépendants, et pire encore, nous pouvons perdre notre identité et nos valeurs qui nous sont chères, notre spiritualité et même notre foi. Nous pouvons être totalement frustrés à cause de la confrontation à notre vie réelle, celle présentée par les médias. Nos convictions se trouvent ébranlées face aux idéologies circulant dans monde via les réseaux de communication sociale.

La prudence est donc de rigueur, nous devons être sélectifs dans ce cas. La maîtrise de soi, un rythme de vie équilibré, un esprit critique et la connaissance de soi sont nécessaires pour une vie meilleure et plus épanouie. La technologie doit rester un serviteur de l’homme et non un maître. 

Diocèse de Miarinarivo

Le Pape François a accepté la renonciation au gouvernement pastoral du Diocèse de Miarinarivo, présentée par S.E. Mgr Jean Claude Randrianarisoa. Au même temps, le Souverain Pontife a nommé S.E Mgr Marie Fabien Raharilamboniaina, comme Admnistrateur Apostolique sede vacante et ad nutum Sanctae Sedis du même Diocèse.

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Noël est vraiment jour de grâce, si...

Le Père Innocent Bizimana, Provincial des Salésiens de Don Bosco de Madagascar et de l'Île Maurice, nous présente, au nom de toute la Famille Salésienne de la Province, les vœux de bonheur en cette Solennité de la Nativité du Seigneur.

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Zatti, notre frère

Le court métrage "Zatti, notre frère" (Argentina, 2020) se concentre sur l’un des épisodes les plus difficiles de sa vie. Nous sommes à Viedma, en 1941: à 60 ans, Zatti est contraint de quitter l’hôpital qu’il a fréquenté pendant des décennies. Sa foi et sa force sont mises à l’épreuve.

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