La forme de travail dans la parabole du fils prodigue est le travail d'esclave parce qu'il vit avec des animaux. Après avoir vécu dans une extrême pauvreté, l'enfant s'est tourné vers son père, s'est repenti et a demandé à être ouvrier à cause de la faim. Le travail ici : la personne qui est asservie par l'estomac, c'est-à-dire la nourriture, asservie par la chair ; esclave parce que dependant, contraint de temps et du ventre. Catéchèse sur le travail, en collaboration avec P. Rakotondramanana Soloniaina Jean Emilien.
19 août 2023 — Samedi, Dix-neuvième Semaine du Temps Ordinaire — Année impaire — Tu es béni, Père, Seigneur du ciel et de la terre, tu as révélé aux tout-petits les mystères du Royaume — Évangile de Jésus-Christ selon saint Matthieu (Mt 19, 13-15)
Le PAPRIZ III a enregistré une augmentation positive au cours de la dernière campagne agricole. Un produit qui entraîne la croissance et le développement de la production de riz à Madagascar. Le rendement moyen a augmenté de plus de 5 tonnes par hectare pour les 11 régions précédentes où le projet travaille. Le nombre de plaines irriguées a été augmenté de plus de 50. Plus de 37 000 agriculteurs ont été formés...
Livre des Juges (Jg 11, 29-39a)
En ces jours-là,
Jephté était un vaillant guerrier.
L’esprit du Seigneur s’empara de lui,
et il traversa les pays de Galaad et Manassé,
et Mispa de Galaad.
De là il passa la frontière des fils d’Ammone.
Jephté fit alors ce vœu au Seigneur :
“Si tu livres les fils d’Ammone entre mes mains,
la première personne qui sortira de ma maison
pour venir à ma rencontre quand je reviendrai victorieux
appartiendra au Seigneur,
et je l’offrirai en sacrifice d’holocauste.”
Jephté passa chez les fils d’Ammone pour les attaquer,
et le Seigneur les livra entre ses mains.
Il les battit depuis Aroër jusqu’à proximité de Minnith
et jusqu’à Abel-Keramim,
soit le territoire de vingt villes.
Ce fut une très grande défaite,
et les fils d’Ammone durent se soumettre aux fils d’Israël.
Lorsque Jephté revint à Mispa,
comme il arrivait à sa maison,
voici que sa fille sortit à sa rencontre
en dansant au son des tambourins.
C’était son unique enfant ;
en dehors d’elle, il n’avait ni fils ni fille.
Dès qu’il l’aperçut, il déchira ses vêtements et s’écria :
“Hélas, ma fille, tu m’accables !
C’est toi qui fais mon malheur !
J’ai parlé trop vite devant le Seigneur,
et je ne peux pas reprendre ma parole.”
Elle lui répondit :
“Mon père, tu as parlé trop vite devant le Seigneur,
traite-moi donc selon ta parole,
puisque maintenant le Seigneur t’a vengé
de tes ennemis, les fils d’Ammone.”
Et elle ajouta :
“Je ne te demande qu’une chose :
laisse-moi un répit de deux mois.
J’irai dans les montagnes
pour pleurer ma virginité avec mes amies.”
Il lui dit :
“Va !”
Et il la laissa partir pour deux mois.
Elle s’en alla donc, avec ses amies, dans la montagne,
et pleura sa virginité.
Les deux mois écoulés, elle revint vers son père,
et il accomplit à son égard le vœu qu’il avait prononcé.
— Parole du Seigneur.
Ps 39 (40), 5. 7-8a. 8b-9. 10
Heureux est l’homme
qui met sa foi dans le Seigneur
et ne va pas du côté des violents,
dans le parti des traîtres.
Tu ne voulais ni offrande ni sacrifice,
tu as ouvert mes oreilles ;
tu ne demandais ni holocauste ni victime,
alors j’ai dit : “Voici, je viens.
“Dans le livre, est écrit pour moi
ce que tu veux que je fasse.
Mon Dieu, voilà ce que j’aime :
ta loi me tient aux entrailles.”
J’annonce la justice
dans la grande assemblée ;
vois, je ne retiens pas mes lèvres,
Seigneur, tu le sais.
Alléluia. Alléluia.
Aujourd’hui, ne fermez pas votre cœur, mais écoutez la voix du Seigneur.
Alléluia.
Évangile de Jésus-Christ selon saint Matthieu (Mt 22, 1-14)
En ce temps-là,
Jésus se mit de nouveau à parler
aux grands prêtres et aux anciens du peuple,
et il leur dit en paraboles :
“Le royaume des Cieux est comparable
à un roi qui célébra les noces de son fils.
Il envoya ses serviteurs appeler à la noce les invités,
mais ceux-ci ne voulaient pas venir.
Il envoya encore d’autres serviteurs dire aux invités :
‘Voilà : j’ai préparé mon banquet,
mes bœufs et mes bêtes grasses sont égorgés ;
tout est prêt : venez à la noce.’
Mais ils n’en tinrent aucun compte et s’en allèrent,
l’un à son champ, l’autre à son commerce ;
les autres empoignèrent les serviteurs,
les maltraitèrent et les tuèrent.
Le roi se mit en colère,
il envoya ses troupes,
fit périr les meurtriers
et incendia leur ville.
Alors il dit à ses serviteurs :
‘Le repas de noce est prêt,
mais les invités n’en étaient pas dignes.
Allez donc aux croisées des chemins :
tous ceux que vous trouverez,
invitez-les à la noce.’
Les serviteurs allèrent sur les chemins,
rassemblèrent tous ceux qu’ils trouvèrent,
les mauvais comme les bons,
et la salle de noce fut remplie de convives.Le roi entra pour examiner les convives,
et là il vit un homme qui ne portait pas le vêtement de noce.
Il lui dit :
‘Mon ami, comment es-tu entré ici,
sans avoir le vêtement de noce ?’
L’autre garda le silence.
Alors le roi dit aux serviteurs :
‘Jetez-le, pieds et poings liés,
dans les ténèbres du dehors ;
là, il y aura des pleurs et des grincements de dents.’Car beaucoup sont appelés,
mais peu sont élus.”
— Acclamons la Parole de Dieu.
Chers frères et sœurs dans le Christ, Vous qui êtes venus en si grand nombre participer à ce pèlerinage national, ainsi que vous tous qui suivez chez vous par les médias. Nous, évêques de Madagascar, nous vous adressons notre profonde gratitude pour avoir répondu à notre invitation et pour avoir fait vivre spirituellement ce jubilé initié par le Pape François. Avec vous, nous reprenons le chant de Marie : « Mon âme exalte le Seigneur » et nous redisons avec elle : "Que rendrai-je au Seigneur pour tout le bien qu’il m’a fait ?"....
Lire la suite...Le Père Innocent Bizimana, Provincial des Salésiens de Don Bosco de Madagascar et de l'Île Maurice, nous présente, au nom de toute la Famille Salésienne de la Province, les vœux de bonheur en cette Solennité de la Nativité du Seigneur.
Lire la suite...Le court métrage "Zatti, notre frère" (Argentina, 2020) se concentre sur l’un des épisodes les plus difficiles de sa vie. Nous sommes à Viedma, en 1941: à 60 ans, Zatti est contraint de quitter l’hôpital qu’il a fréquenté pendant des décennies. Sa foi et sa force sont mises à l’épreuve.
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