Mercredi 3 novembre 2021 — Trente-et-unième semaine du Temps ordinaire — Si l’on vous insulte pour le nom du Christ, heureux êtes-vous : l’Esprit de Dieu repose sur vous — Évangile de Jésus-Christ selon saint Luc 14, 25-33

Mardi 2 novembre 2021 — Commémoration de tous les fidèles défunts — Venez, les bénis de mon Père, recevez en héritage le Royaume préparé pour vous depuis la fondation du monde — Évangile de Jésus-Christ selon saint Jean 14, 1-6

Le réseau FARMADA accompagne les jeunes face au développement rural par la formation et l'accompagnement, un système de regroupement de formateurs dans le secteur de la production rurale.

L'obligation de laisser le fœtus au détriment des soins indispensables pour la santé de la mère n'est pas un crime. C'est un code de conduite en soi. C'est aussi le résultat détourné de la volonté de garder le fœtus. D'un autre côté, une grossesse, fruit d'un viol, n'est ni à ignorer ni à sous-estimer, ainsi que les difficultés qui en découlent avec les causes sous-jacentes. 

En ce temps-là, Jésus, marchant vers Jérusalem, traversait la région située entre la Samarie et la Galilée. Comme il entrait dans un village, dix lépreux vinrent à sa rencontre. Ils s’arrêtèrent à distance et lui crièrent : "Jésus, maître, prends pitié de nous." À cette vue, Jésus leur dit : "Allez vous montrer aux prêtres."

En cours de route, ils furent purifiés. L’un d’eux, voyant qu’il était guéri, revint sur ses pas, en glorifiant Dieu à pleine voix. Il se jeta face contre terre aux pieds de Jésus en lui rendant grâce. Or, c’était un Samaritain. Alors Jésus prit la parole en disant : "Tous les dix n’ont-ils pas été purifiés ? Les neuf autres, où sont-ils ? Il ne s’est trouvé parmi eux que cet étranger pour revenir sur ses pas et rendre gloire à Dieu !" Jésus lui dit : "Relève-toi et va : ta foi t’a sauvé."

Comme la Pâque juive était proche, Jésus monta à Jérusalem. Dans le Temple, il trouva installés les marchands de bœufs, de brebis et de colombes, et les changeurs. Il fit un fouet avec des cordes, et les chassa tous du Temple, ainsi que les brebis et les bœufs ; il jeta par terre la monnaie des changeurs, renversa leurs comptoirs, et dit aux marchands de colombes : "Enlevez cela d’ici. Cessez de faire de la maison de mon Père une maison de commerce." Ses disciples se rappelèrent qu’il est écrit : L’amour de ta maison fera mon tourment. Des Juifs l’interpellèrent : "Quel signe peux-tu nous donner pour agir ainsi ?" Jésus leur répondit : "Détruisez ce sanctuaire, et en trois jours je le relèverai." Les Juifs lui répliquèrent : "Il a fallu quarante-six ans pour bâtir ce sanctuaire, et toi, en trois jours tu le relèverais !" Mais lui parlait du sanctuaire de son corps.

Aussi, quand il se réveilla d’entre les morts, ses disciples se rappelèrent qu’il avait dit cela ; ils crurent à l’Écriture et à la parole que Jésus avait dite.

En ce temps-là, Jésus disait à ses disciples : "Il est inévitable que surviennent des scandales, des occasions de chute ; mais malheureux celui par qui cela arrive ! Il vaut mieux qu’on lui attache au cou une meule en pierre et qu’on le précipite à la mer, plutôt qu’il ne soit une occasion de chute pour un seul des petits que voilà.

Prenez garde à vous-mêmes ! Si ton frère a commis un péché, fais-lui de vifs reproches, et, s’il se repent, pardonne-lui. Même si sept fois par jour il commet un péché contre toi, et que sept fois de suite il revienne à toi en disant : "Je me repens", tu lui pardonneras."

Les Apôtres dirent au Seigneur : "Augmente en nous la foi !" Le Seigneur répondit : "Si vous aviez de la foi, gros comme une graine de moutarde, vous auriez dit à l’arbre que voici : "Déracine-toi et va te planter dans la mer", et il vous aurait obéi."

L'aide peut se faire de plusieurs manières : temps, connaissances, talents, ressources, argent. S'il y a une conviction, suite l'émission « mba ho vanona », faites-le, puisque cela changera votre vie. Emission « mba ho vanona » avec le général Désiré Philippe Ramakavelo.

En ce temps-là, Jésus s’était assis dans le Temple en face de la salle du trésor, et regardait comment la foule y mettait de l’argent. Beaucoup de riches y mettaient de grosses sommes. Une pauvre veuve s’avança et mit deux petites pièces de monnaie. Jésus appela ses disciples et leur déclara : "Amen, je vous le dis : cette pauvre veuve a mis dans le Trésor plus que tous les autres. Car tous, ils ont pris sur leur superflu, mais elle, elle a pris sur son indigence : elle a mis tout ce qu’elle possédait, tout ce qu’elle avait pour vivre."

En ce temps-là, Jésus disait à ses disciples : "Moi, je vous le dis : Faites-vous des amis avec l’argent malhonnête, afin que, le jour où il ne sera plus là, ces amis vous accueillent dans les demeures éternelles. Celui qui est digne de confiance dans la moindre chose est digne de confiance aussi dans une grande. Celui qui est malhonnête dans la moindre chose est malhonnête aussi dans une grande. Si vous n’avez pas été dignes de confiance pour l’argent malhonnête, qui vous confiera le bien véritable ? Et si, pour ce qui est à autrui, vous n’avez pas été dignes de confiance, ce qui vous revient, qui vous le donnera ? Aucun domestique ne peut servir deux maîtres : ou bien il haïra l’un et aimera l’autre, ou bien il s’attachera à l’un et méprisera l’autre. Vous ne pouvez pas servir à la fois Dieu et l’argent."

Quand ils entendaient tout cela, les pharisiens, eux qui aimaient l’argent, tournaient Jésus en dérision. Il leur dit alors : "Vous, vous êtes de ceux qui se font passer pour justes aux yeux des gens, mais Dieu connaît vos cœurs ; en effet, ce qui est prestigieux pour les gens est une chose abominable aux yeux de Dieu."

En ce temps-là, Jésus disait aux disciples : "Un homme riche avait un gérant qui lui fut dénoncé comme dilapidant ses biens. Il le convoqua et lui dit : "Qu’est-ce que j’apprends à ton sujet ? Rends-moi les comptes de ta gestion, car tu ne peux plus être mon gérant." Le gérant se dit en lui-même : "Que vais-je faire, puisque mon maître me retire la gestion ? Travailler la terre ? Je n’en ai pas la force. Mendier ? J’aurais honte. Je sais ce que je vais faire, pour qu’une fois renvoyé de ma gérance, des gens m’accueillent chez eux." Il fit alors venir, un par un, ceux qui avaient des dettes envers son maître. Il demanda au premier : "Combien dois-tu à mon maître ?" Il répondit : "Cent barils d’huile." Le gérant lui dit : "Voici ton reçu ; vite, assieds-toi et écris cinquante." Puis il demanda à un autre : "Et toi, combien dois-tu ?" Il répondit : "Cent sacs de blé." Le gérant lui dit : "Voici ton reçu, écris quatre-vingt." Le maître fit l’éloge de ce gérant malhonnête car il avait agi avec habileté ; en effet, les fils de ce monde sont plus habiles entre eux que les fils de la lumière."

Il ne suffit pas de savoir que « nous devons respecter la discipline », mais les faits réels sont ceux dont les parents doivent être informés. De nombreux dangers peuvent affecter l’éducation et l'enseignement: cas existants, au sein de la famille, cas affectant directement l'enfant, réalités communautaires et problèmes touchant l'enseignant. Par exemple : partage de l'amour entre la famille imparfait, des problèmes d'alimentation, la crise sanitaire...

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