Valorisez toujours ce qui a toujours été important pour vous. Nous devons nous demander. Pour être une solution, il faut tout remettre à sa place en fonction de sa valeur. Nous sommes souvent perdus dans une situation d'urgence et en oublions l'importance. Si on a l'habitude de vivre avec de précipitation, nous n'y réussirons pas...

Lorsque le taux de sucre dans le sang monte trop haut, les vaisseaux sanguins sont les premiers à en souffrir. Les petits vaisseaux sanguins sont les plus touchés, par exemple, les yeux qui peuvent entraîner des maladies oculaires, des cataractes et même la cécité. Quand le diabète atteint les nerfs, le sujet perd peu à peu le sens. Il existe de nombreuses maladies pouvant être causées par le diabète: maladie rénale, hypertension artérielle ...

Samedi 6 mars 2021 — Deuxième semaine de Carême — Je me lèverai, j’irai vers mon père, et je lui dirai : Père, j'ai péché contre le ciel et envers toi — Évangile de Jésus-Christ selon saint Luc 15, 1-3. 11-32

Vendredi 5 mars 2021 — Deuxième semaine de Carême — Dieu a tellement aimé le monde qu’il a donné son Fils unique, afin que ceux qui croient en lui aient la vie éternelle — Évangile de Jésus-Christ selon saint Matthieu 21, 33-43. 45-46

Jeudi 4 mars 2021 — Deuxième semaine de Carême — Heureux ceux qui ont entendu la Parole dans un cœur bon et généreux, qui la retiennent et portent du fruit par leur persévérance — Évangile de Jésus-Christ Luc 16, 19-31

Mercredi 3 mars 2021 — Deuxième semaine de Carême — Moi, je suis la lumière du monde, dit le Seigneur. Celui qui me suit aura la lumière de la vie — Évangile de Jésus-Christ selon saint Matthieu 20, 17-28

Mardi 2 mars 2021 — Deuxième semaine de Carême — Rejetez tous les crimes que vous avez commis, faites-vous un cœur nouveau et un esprit nouveau — Évangile de Jésus-Christ selon saint Matthieu 23, 1-12

Lundi 1er mars 2021 — Deuxième semaine de Carême — Tes paroles, Seigneur, sont esprit et elles sont vie. Tu as les paroles de la vie éternelle — Évangile de Jésus-Christ selon saint Luc 6, 36-38

Dimanche 28 février 2021 — Deuxième dimanche de Carême — De la nuée lumineuse, la voix du Père a retenti : "Celui-ci est mon Fils bien-aimé, écoutez-le !" — Évangile de Jésus-Christ selon saint Marc 9, 2-10

En ce temps-là, Jésus disait à Nicodème : "De même que le serpent de bronze fut élevé par Moïse dans le désert, ainsi faut-il que le Fils de l’homme soit élevé, afin qu’en lui tout homme qui croit ait la vie éternelle. Car Dieu a tellement aimé le monde qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne se perde pas, mais obtienne la vie éternelle. Car Dieu a envoyé son Fils dans le monde, non pas pour juger le monde, mais pour que, par lui, le monde soit sauvé. Celui qui croit en lui échappe au Jugement, celui qui ne croit pas est déjà jugé, du fait qu’il n’a pas cru au nom du Fils unique de Dieu. Et le Jugement, le voici : la lumière est venue dans le monde, et les hommes ont préféré les ténèbres à la lumière, parce que leurs œuvres étaient mauvaises. Celui qui fait le mal déteste la lumière : il ne vient pas à la lumière, de peur que ses œuvres ne soient dénoncées ; mais celui qui fait la vérité vient à la lumière, pour qu’il soit manifeste que ses œuvres ont été accomplies en union avec Dieu."

En ce temps-là, à l’adresse de certains qui étaient convaincus d’être justes et qui méprisaient les autres, Jésus dit la parabole que voici : "Deux hommes montèrent au Temple pour prier. L’un était pharisien, et l’autre, publicain (c’est-à-dire un collecteur d’impôts). Le pharisien se tenait debout et priait en lui-même : “Mon Dieu, je te rends grâce parce que je ne suis pas comme les autres hommes – ils sont voleurs, injustes, adultères –, ou encore comme ce publicain. Je jeûne deux fois par semaine et je verse le dixième de tout ce que je gagne.” Le publicain, lui, se tenait à distance et n’osait même pas lever les yeux vers le ciel ; mais il se frappait la poitrine, en disant : “Mon Dieu, montre-toi favorable au pécheur que je suis !” Je vous le déclare : quand ce dernier redescendit dans sa maison, c’est lui qui était devenu un homme juste, plutôt que l’autre. Qui s’élève sera abaissé ; qui s’abaisse sera élevé."

En ce temps-là, un scribe s’avança vers Jésus pour lui demander : "Quel est le premier de tous les commandements ?" Jésus lui fit cette réponse : "Voici le premier : Écoute, Israël : le Seigneur notre Dieu est l’unique Seigneur. Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme, de tout ton esprit et de toute ta force. Et voici le second : Tu aimeras ton prochain comme toi-même. Il n’y a pas de commandement plus grand que ceux-là." Le scribe reprit : "Fort bien, Maître, tu as dit vrai : Dieu est l’Unique et il n’y en a pas d’autre que lui. L’aimer de tout son cœur, de toute son intelligence, de toute sa force, et aimer son prochain comme soi-même, vaut mieux que toute offrande d’holocaustes et de sacrifices." Jésus, voyant qu’il avait fait une remarque judicieuse, lui dit : "Tu n’es pas loin du royaume de Dieu." Et personne n’osait plus l’interroger.

Message des Évêques, à la fin de Pèlerinage

Chers frères et sœurs dans le Christ, Vous qui êtes venus en si grand nombre participer à ce pèlerinage national, ainsi que vous tous qui suivez chez vous par les médias. Nous, évêques de Madagascar, nous vous adressons notre profonde gratitude pour avoir répondu à notre invitation et pour avoir fait vivre spirituellement ce jubilé initié par le Pape François. Avec vous, nous reprenons le chant de Marie : « Mon âme exalte le Seigneur » et nous redisons avec elle : "Que rendrai-je au Seigneur pour tout le bien qu’il m’a fait ?"....

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Noël est vraiment jour de grâce, si...

Le Père Innocent Bizimana, Provincial des Salésiens de Don Bosco de Madagascar et de l'Île Maurice, nous présente, au nom de toute la Famille Salésienne de la Province, les vœux de bonheur en cette Solennité de la Nativité du Seigneur.

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Zatti, notre frère

Le court métrage "Zatti, notre frère" (Argentina, 2020) se concentre sur l’un des épisodes les plus difficiles de sa vie. Nous sommes à Viedma, en 1941: à 60 ans, Zatti est contraint de quitter l’hôpital qu’il a fréquenté pendant des décennies. Sa foi et sa force sont mises à l’épreuve.

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