Le mois de juin est le moment de marquer la fête de l'indépendance pour les malagasy. C'est un moment comme celui-ci où tout le monde devrait être conscient de la raison de célébrer cette fête. Le hissage du drapeau national est un symbole de souveraineté nationale. Les histoires de Madagascar sont presque écrites par des écrivains chevronnés tels que : Grandidier, Flacourt, Jacques Tronchon ; il y a donc beaucoup de faits qui ont été délibérément cachés et c'est pourquoi il y a un doute. Le retour de l'indépendance devrait être très chaleureux et c'est la raison pour laquelle il faut hisser le drapeau national avec les manières de le célébrer (lampions, fêtes, repas...)

Une question qui doit être posée afin de montrer l'amour pour le pays est : Quelle contribution puis-je apporter au profit de Madagascar ? Nous ne devrions pas nous blâmer ou attendre que les autres développent ce pays. Le succès de chacun devient le succès de notre pays commun. La santé est la première source de richesse, donc si tout le monde est en bonne santé, ils peuvent produire pour eux-mêmes et pour le pays, ce qui est une petite contribution.

La femme, après avoir accouché, ne peut pas retenir son urine, qui devrait sortir naturellement mais chemine le long de l'utérus, c'est ce que nous entendons par "Fistule obstétricale". Si elle n'est pas traitée, cette maladie provoque une mauvaise odeur et les femmes touchées par cette maladie sont stigmatisées dans la société. La raison possible en est le resserrement de la peau de l'utérus et de la vessie ou du côlon en raison de la durée de l'accouchement et ces organes sont déchirés. Pour éviter cela, les femmes doivent être prêtes physiquement avant de faire face à la grossesse et à l'accouchement.

Il appartient à chacun de nous de développer Madagascar, sur le plan de la santé physique, affective, amoureuse, mentale et spirituelle car ce sont les fondements de l'être humain. Chacun devrait avoir l'habitude de faire ce qui suit : identification de ses forces et faiblesses, des erreurs à corriger, des autres opportunités et obstacles qui l'empêchent d'avancer. Si ces éléments sont connus, nous pouvons être sûrs de la progression du pays. 

Une question qu’il faut se poser pour montrer le patriotisme est : Quelle contribution puis-je apporter au bénéfice de Madagascar ?  Nous ne devons pas nous blâmer les uns les autres ni attendre que les autres développent notre pays. La réussite de chaque individu devient la réussite de notre pays commun. La santé est la première source de richesse, donc si tout le monde est en bonne santé, il peut produire pour lui-même et pour le pays, ce qui représente une petite contribution.

La santé est basée sur : le corps, le mental, l'esprit. Il existe un objectif d’auto-préservation dans l’humanité qui ne concerne pas seulement soi-même mais aussi ceux qui l’entourent. Cette coopération mène à la santé publique. La santé publique est le reflet des progrès du pays. Lorsqu'il y a une campagne de santé et de sensibilisation de l'État, tout le monde devrait être actif pour veiller à la santé de tous.

La lutte contre la corruption est également liée à une stratégie simple visant à surveiller l'éducation des enfants qui travaillent à tous les niveaux ; par exemple : donner des choses aux enseignants, ce qui est une forme de corruption. La famille étant la première école, les parents doivent comprendre qu’ils sont les premiers enseignants de leurs enfants. Le langage et les gestes doivent être observés car ces langages et gestes sont imités par les enfants. Faites savoir aux enfants que les leçons apprises dans le cours de base seront ajoutées à chaque fois qu'ils changeront de classe, il y a donc souvent des problèmes pour les enfants qui sautent de classe... Émission "Promotion féminine".

La corruption fait quelque chose d'illégal et de malhonnête. Faire de la "corruption" cause du tort à ceux qui le font, mais cela peut aussi nuire à tout le monde, c'est-à-dire qu'il peut nuire à beaucoup de choses. Emission "mba ho vanona" en collaboration avec le général Ramakavelo Désiré.

La violence a de nombreuses formes, tout comme la corruption. Il existe de nombreuses formes de violence : physique, mentale et spirituelle. Tous ces actes de violence portent atteinte à la vie. Emission "mba ho vanona" en collaboration avec le général Ramakavelo Désiré.

Entraînez vos enfants dans la bonne direction et ils auront un avenir radieux et un bon caractère. Ils seront loin de la violence et de la corruption qui détruisent la société, s'ils sont éduqués à suivre le droit chemin. Emission "mba ho vanona" avec le général Ramakavelo Désiré.

Si les parents veulent avoir des enfants bons et décents, chacun doit faire un effort pour assurer l'éducation, dans la justice. La justice est une garantie qui nous rapproche les uns des autres et des amoureux. Emission "mba ho vanona" avec le général Ramakavelo Désiré.

L'amour, l'honnêteté et la confiance sont nécessaires dans la vie. Ces trois fondements mènent à une bonne vie. Émission "mba ho vanona" avec le général Ramakavelo Désiré.

Message des Évêques, à la fin de Pèlerinage

Chers frères et sœurs dans le Christ, Vous qui êtes venus en si grand nombre participer à ce pèlerinage national, ainsi que vous tous qui suivez chez vous par les médias. Nous, évêques de Madagascar, nous vous adressons notre profonde gratitude pour avoir répondu à notre invitation et pour avoir fait vivre spirituellement ce jubilé initié par le Pape François. Avec vous, nous reprenons le chant de Marie : « Mon âme exalte le Seigneur » et nous redisons avec elle : "Que rendrai-je au Seigneur pour tout le bien qu’il m’a fait ?"....

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Noël est vraiment jour de grâce, si...

Le Père Innocent Bizimana, Provincial des Salésiens de Don Bosco de Madagascar et de l'Île Maurice, nous présente, au nom de toute la Famille Salésienne de la Province, les vœux de bonheur en cette Solennité de la Nativité du Seigneur.

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Zatti, notre frère

Le court métrage "Zatti, notre frère" (Argentina, 2020) se concentre sur l’un des épisodes les plus difficiles de sa vie. Nous sommes à Viedma, en 1941: à 60 ans, Zatti est contraint de quitter l’hôpital qu’il a fréquenté pendant des décennies. Sa foi et sa force sont mises à l’épreuve.

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