Suite au partage du narrateur : il explique en outre sa véritable identité. Ce partage nécessite : l'organisation de la vie, la préparation ; donc il est obligé de revenir sur sa vie qu'il raconte dont l'auto-évaluation. Catéchèse sur le partage d'expériences de vie, avec P. Hermann Solonomenjanahary.
Le partage d'expériences, il crée une joie profonde et durable, un sentiment de sécurité et un sentiment de soi, l'originalité. Ceux qui partagent, se sentent soulagés d'avoir partagé leur vie : « Des bagages partagés, faciles à supporter ». Catéchèse sur le partage d'expériences de vie, avec P. Hermann Solonomenjanahary.
Le pape François veut mettre l'accent, dans la vie pastorale des jeunes, sur le partage d'expériences de vie, y compris, entre autres, l'écoute de toute sorte de témoignages. Catéchèse sur le partage d'expériences de vie, avec P. Hermann Solonomenjanahary.
Un jour de sabbat, Jésus traversait des champs ; ses disciples arrachaient des épis et les mangeaient, après les avoir froissés dans leurs mains. Quelques pharisiens dirent alors : "Pourquoi faites-vous ce qui n’est pas permis le jour du sabbat ?" Jésus leur répondit : "N’avez-vous pas lu ce que fit David un jour qu’il eut faim, lui-même et ceux qui l’accompagnaient ? Il entra dans la maison de Dieu, prit les pains de l’offrande, en mangea et en donna à ceux qui l’accompagnaient, alors que les prêtres seulement ont le droit d’en manger." Il leur disait encore : "Le Fils de l’homme est maître du sabbat."
En ce temps-là, les pharisiens et les scribes dirent à Jésus : "Les disciples de Jean le Baptiste jeûnent souvent et font des prières ; de même ceux des pharisiens. Au contraire, les tiens mangent et boivent !" Jésus leur dit : "Pouvez-vous faire jeûner les invités de la noce, pendant que l’Époux est avec eux ? Mais des jours viendront où l’Époux leur sera enlevé ; alors, en ces jours-là, ils jeûneront."
Il leur dit aussi en parabole : "Personne ne déchire un morceau à un vêtement neuf pour le coudre sur un vieux vêtement. Autrement, on aura déchiré le neuf, et le morceau qui vient du neuf ne s’accordera pas avec le vieux. Et personne ne met du vin nouveau dans de vieilles outres ; autrement, le vin nouveau fera éclater les outres, il se répandra et les outres seront perdues. Mais on doit mettre le vin nouveau dans des outres neuves. Jamais celui qui a bu du vin vieux ne désire du nouveau. Car il dit : "C’est le vieux qui est bon.""
En ce temps-là, la foule se pressait autour de Jésus pour écouter la parole de Dieu, tandis qu’il se tenait au bord du lac de Génésareth. Il vit deux barques qui se trouvaient au bord du lac ; les pêcheurs en étaient descendus et lavaient leurs filets. Jésus monta dans une des barques qui appartenait à Simon, et lui demanda de s’écarter un peu du rivage. Puis il s’assit et, de la barque, il enseignait les foules.
Quand il eut fini de parler, il dit à Simon : "Avance au large, et jetez vos filets pour la pêche." Simon lui répondit : "Maître, nous avons peiné toute la nuit sans rien prendre ; mais, sur ta parole, je vais jeter les filets." Et l’ayant fait, ils capturèrent une telle quantité de poissons que leurs filets allaient se déchirer. Ils firent signe à leurs compagnons de l’autre barque de venir les aider. Ceux-ci vinrent, et ils remplirent les deux barques, à tel point qu’elles enfonçaient. À cette vue, Simon-Pierre tomba aux genoux de Jésus, en disant : "Éloigne-toi de moi, Seigneur, car je suis un homme pécheur." En effet, un grand effroi l’avait saisi, lui et tous ceux qui étaient avec lui, devant la quantité de poissons qu’ils avaient pêchés ; et de même Jacques et Jean, fils de Zébédée, les associés de Simon. Jésus dit à Simon : "Sois sans crainte, désormais ce sont des hommes que tu prendras." Alors ils ramenèrent les barques au rivage et, laissant tout, ils le suivirent.
En ce temps-là, Jésus quitta la synagogue de Capharnaüm et entra dans la maison de Simon. Or, la belle-mère de Simon était oppressée par une forte fièvre, et on demanda à Jésus de faire quelque chose pour elle. Il se pencha sur elle, menaça la fièvre, et la fièvre la quitta. À l’instant même, la femme se leva et elle les servait.
Au coucher du soleil, tous ceux qui avaient des malades atteints de diverses infirmités les lui amenèrent. Et Jésus, imposant les mains à chacun d’eux, les guérissait. Et même des démons sortaient de beaucoup d’entre eux en criant : "C’est toi le Fils de Dieu !" Mais Jésus les menaçait et leur interdisait de parler parce qu’ils savaient, eux, que le Christ, c’était lui.
Quand il fit jour, Jésus sortit et s’en alla dans un endroit désert. Les foules le cherchaient ; elles arrivèrent jusqu’à lui, et elles le retenaient pour l’empêcher de les quitter. Mais il leur dit : "Aux autres villes aussi, il faut que j’annonce la Bonne Nouvelle du règne de Dieu, car c’est pour cela que j’ai été envoyé." Et il proclamait l’Évangile dans les synagogues du pays des Juifs.
Le « fibrome myome » est une tumeur bénigne faite de la prolifération de cellules musculaires issues de la paroi de l’utérus. Ce gonflement ne se transforme jamais en cancer. La cause probable de cette tumeur peut être un trouble hormonal ; taux d'œstrogènes élevés ou insuffisance de progestérone. Manger ou enduire son corps par des produits contenant des « œstrogènes » peut aussi être une raison...
Le Centre FAFIALA, dont le siège est dans la commune d'Ambohimangakely, district d'Antananarivo-Avaradrano, poursuit ses travaux. Malgré les diverses difficultés rencontrées, dont l'épidémie de covid-19, divers partenaires se tiennent toujours debout et soutiennent ce Centre...
Le Centre FAFIALA, dont le siège est dans la commune d'Ambohimangakely, district d'Antananarivo-Avaradrano, poursuit ses travaux. Malgré les diverses difficultés rencontrées, dont l'épidémie de covid-19, divers partenaires se tiennent toujours debout et soutiennent ce Centre...
En ce temps-là, Jésus descendit à Capharnaüm, ville de Galilée, et il y enseignait, le jour du sabbat. On était frappé par son enseignement car sa parole était pleine d’autorité. Or, il y avait dans la synagogue un homme possédé par l’esprit d’un démon impur, qui se mit à crier d’une voix forte : "Ah ! que nous veux-tu, Jésus de Nazareth ? Es-tu venu pour nous perdre ? Je sais qui tu es : tu es le Saint de Dieu." Jésus le menaça : "Silence ! Sors de cet homme." Alors le démon projeta l’homme en plein milieu et sortit de lui sans lui faire aucun mal. Tous furent saisis d’effroi et ils se disaient entre eux : "Quelle est cette parole ? Il commande avec autorité et puissance aux esprits impurs, et ils sortent !" Et la réputation de Jésus se propageait dans toute la région.
En ce temps-là, Jésus vint à Nazareth, où il avait été élevé. Selon son habitude, il entra dans la synagogue le jour du sabbat, et il se leva pour faire la lecture. On lui remit le livre du prophète Isaïe. Il ouvrit le livre et trouva le passage où il est écrit : L’Esprit du Seigneur est sur moi parce que le Seigneur m’a consacré par l’onction. Il m’a envoyé porter la Bonne Nouvelle aux pauvres, annoncer aux captifs leur libération, et aux aveugles qu’ils retrouveront la vue, remettre en liberté les opprimés, annoncer une année favorable accordée par le Seigneur. Jésus referma le livre, le rendit au servant et s’assit. Tous, dans la synagogue, avaient les yeux fixés sur lui. Alors il se mit à leur dire : "Aujourd’hui s’accomplit ce passage de l’Écriture que vous venez d’entendre" Tous lui rendaient témoignage et s’étonnaient des paroles de grâce qui sortaient de sa bouche. Ils se disaient : "N’est-ce pas là le fils de Joseph ?" Mais il leur dit : "Sûrement vous allez me citer le dicton : "Médecin, guéris-toi toi-même", et me dire : "Nous avons appris tout ce qui s’est passé à Capharnaüm : fais donc de même ici dans ton lieu d’origine !"" Puis il ajouta : "Amen, je vous le dis : aucun prophète ne trouve un accueil favorable dans son pays. En vérité, je vous le dis : Au temps du prophète Élie, lorsque pendant trois ans et demi le ciel retint la pluie, et qu’une grande famine se produisit sur toute la terre, il y avait beaucoup de veuves en Israël ; pourtant Élie ne fut envoyé vers aucune d’entre elles, mais bien dans la ville de Sarepta, au pays de Sidon, chez une veuve étrangère. Au temps du prophète Élisée, il y avait beaucoup de lépreux en Israël ; et aucun d’eux n’a été purifié, mais bien Naaman le Syrien."
À ces mots, dans la synagogue, tous devinrent furieux. Ils se levèrent, poussèrent Jésus hors de la ville, et le menèrent jusqu’à un escarpement de la colline où leur ville est construite, pour le précipiter en bas. Mais lui, passant au milieu d’eux, allait son chemin.
À l'issue de sa deuxième Assemblée Générale qui s'est tenue du 15 au 18 octobre 2024, la Commission épiscopale Justice et Paix a adressé un message aux responsables étatiques à tous les niveaux, ainsi qu'à tous les Malagasy et à toutes les personnes de bonne volonté.
Lire la suite...Le Père Innocent Bizimana, Provincial des Salésiens de Don Bosco de Madagascar et de l'Île Maurice, nous présente, au nom de toute la Famille Salésienne de la Province, les vœux de bonheur en cette Solennité de la Nativité du Seigneur.
Lire la suite...Le court métrage "Zatti, notre frère" (Argentina, 2020) se concentre sur l’un des épisodes les plus difficiles de sa vie. Nous sommes à Viedma, en 1941: à 60 ans, Zatti est contraint de quitter l’hôpital qu’il a fréquenté pendant des décennies. Sa foi et sa force sont mises à l’épreuve.
Lire la suite...© 2025 Radio Don Bosco