La maladie sera l'adversaire dans le cadre de l'objectif de la santé. C'est la maladie qui perturbe la cooridination qui est déjà en vous, pour diverses raisons, c'est ce que vous voulez restaurer et c'est l'objectif de la santé. Nous devons changer les attitudes pour faire face à l'épidémie, cela demande des efforts et nous avons besoin de connaissances de base...
Mercredi 21 avril 2021 — Troisième semaine du Temps pascal — Celui qui voit le Fils et croit en lui a la vie éternelle, dit le Seigneur ; et moi, je le ressusciterai au dernier jour — Évangile de Jésus-Christ selon saint Jean 6, 35-40
Mardi 20 avril 2021 — Troisième semaine du Temps pascal — Moi, je suis le pain de la vie, dit le Seigneur, celui qui vient à moi n’aura jamais faim — Évangile de Jésus-Christ selon saint Jean 6, 30-35
Lundi 19 avril 2021 — Troisième semaine du Temps pascal — L’homme ne vit pas seulement de pain, mais de toute parole qui sort de la bouche de Dieu — Évangile de Jésus-Christ selon saint Jean 6, 22-29
Dimanche 18 avril 2021 — Troisième dimanche de Pâques — Seigneur Jésus, ouvre-nous les Écritures ! Que notre cœur devienne brûlant tandis que tu nous parles — Évangile de Jésus-Christ selon saint Luc 24, 35-48
Il y a tellement de médicaments en circulation aujourd'hui, 30% des personnes sont à risque aux allergies médicamenteuses. La vie des gens est en jeu si l'intolérance s'intensifie. Les symptômes peuvent : des démangeaisons cutanées légèrement rouges avec gonflement, des vomissements, de la diarrhée, crampes abdominales, nez bouché, yeux rouges, gonflement à l'intérieur de la gorge, peut conduire à la mort prématurée...
En ce temps-là, Jésus déclara : "Moi, je suis le bon pasteur, le vrai berger, qui donne sa vie pour ses brebis. Le berger mercenaire n’est pas le pasteur, les brebis ne sont pas à lui : s’il voit venir le loup, il abandonne les brebis et s’enfuit ; le loup s’en empare et les disperse. Ce berger n’est qu’un mercenaire, et les brebis ne comptent pas vraiment pour lui.
Moi, je suis le bon pasteur ; je connais mes brebis, et mes brebis me connaissent, comme le Père me connaît, et que je connais le Père ; et je donne ma vie pour mes brebis. J’ai encore d’autres brebis, qui ne sont pas de cet enclos : celles-là aussi, il faut que je les conduise. Elles écouteront ma voix : il y aura un seul troupeau et un seul pasteur.
Voici pourquoi le Père m’aime : parce que je donne ma vie, pour la recevoir de nouveau. Nul ne peut me l’enlever : je la donne de moi-même. J’ai le pouvoir de la donner, j’ai aussi le pouvoir de la recevoir de nouveau : voilà le commandement que j’ai reçu de mon Père."
En ce temps-là, Jésus avait donné un enseignement dans la synagogue de Capharnaüm. Beaucoup de ses disciples, qui avaient entendu, déclarèrent : "Cette parole est rude ! Qui peut l’entendre ?" Jésus savait en lui-même que ses disciples récriminaient à son sujet. Il leur dit : "Cela vous scandalise ? Et quand vous verrez le Fils de l’homme monter là où il était auparavant !… C’est l’esprit qui fait vivre, la chair n’est capable de rien. Les paroles que je vous ai dites sont esprit et elles sont vie. Mais il y en a parmi vous qui ne croient pas." Jésus savait en effet depuis le commencement quels étaient ceux qui ne croyaient pas, et qui était celui qui le livrerait. Il ajouta : "Voilà pourquoi je vous ai dit que personne ne peut venir à moi si cela ne lui est pas donné par le Père." À partir de ce moment, beaucoup de ses disciples s’en retournèrent et cessèrent de l’accompagner. Alors Jésus dit aux Douze : "Voulez-vous partir, vous aussi ?" Simon-Pierre lui répondit : "Seigneur, à qui irions-nous ? Tu as les paroles de la vie éternelle. Quant à nous, nous croyons, et nous savons que tu es le Saint de Dieu."
En ce temps-là, Jésus avait donné un enseignement dans la synagogue de Capharnaüm. Beaucoup de ses disciples, qui avaient entendu, déclarèrent : "Cette parole est rude ! Qui peut l’entendre ?" Jésus savait en lui-même que ses disciples récriminaient à son sujet. Il leur dit : "Cela vous scandalise ? Et quand vous verrez le Fils de l’homme monter là où il était auparavant !… C’est l’esprit qui fait vivre, la chair n’est capable de rien. Les paroles que je vous ai dites sont esprit et elles sont vie. Mais il y en a parmi vous qui ne croient pas." Jésus savait en effet depuis le commencement quels étaient ceux qui ne croyaient pas, et qui était celui qui le livrerait. Il ajouta : "Voilà pourquoi je vous ai dit que personne ne peut venir à moi si cela ne lui est pas donné par le Père." À partir de ce moment, beaucoup de ses disciples s’en retournèrent et cessèrent de l’accompagner. Alors Jésus dit aux Douze : "Voulez-vous partir, vous aussi ?" Simon-Pierre lui répondit : "Seigneur, à qui irions-nous ? Tu as les paroles de la vie éternelle. Quant à nous, nous croyons, et nous savons que tu es le Saint de Dieu."
En ce temps-là, les Juifs se querellaient entre eux : "Comment celui-là peut il nous donner sa chair à manger ?" Jésus leur dit alors : "Amen, amen, je vous le dis : si vous ne mangez pas la chair du Fils de l’homme, et si vous ne buvez pas son sang, vous n’avez pas la vie en vous. Celui qui mange ma chair et boit mon sang a la vie éternelle ; et moi, je le ressusciterai au dernier jour. En effet, ma chair est la vraie nourriture, et mon sang est la vraie boisson. Celui qui mange ma chair et boit mon sang demeure en moi, et moi, je demeure en lui. De même que le Père, qui est vivant, m’a envoyé, et que moi je vis par le Père, de même celui qui me mange, lui aussi vivra par moi. Tel est le pain qui est descendu du ciel : il n’est pas comme celui que les pères ont mangé. Eux, ils sont morts ; celui qui mange ce pain vivra éternellement." Voilà ce que Jésus a dit alors qu’il enseignait à la synagogue de Capharnaüm.
En ce temps-là, les Juifs se querellaient entre eux : "Comment celui-là peut il nous donner sa chair à manger ?" Jésus leur dit alors : "Amen, amen, je vous le dis : si vous ne mangez pas la chair du Fils de l’homme, et si vous ne buvez pas son sang, vous n’avez pas la vie en vous. Celui qui mange ma chair et boit mon sang a la vie éternelle ; et moi, je le ressusciterai au dernier jour. En effet, ma chair est la vraie nourriture, et mon sang est la vraie boisson. Celui qui mange ma chair et boit mon sang demeure en moi, et moi, je demeure en lui. De même que le Père, qui est vivant, m’a envoyé, et que moi je vis par le Père, de même celui qui me mange, lui aussi vivra par moi. Tel est le pain qui est descendu du ciel : il n’est pas comme celui que les pères ont mangé. Eux, ils sont morts ; celui qui mange ce pain vivra éternellement." Voilà ce que Jésus a dit alors qu’il enseignait à la synagogue de Capharnaüm.
En ce temps-là, Jésus disait aux foules : "Personne ne peut venir à moi, si le Père qui m’a envoyé ne l’attire, et moi, je le ressusciterai au dernier jour.
Il est écrit dans les prophètes : Ils seront tous instruits par Dieu lui-même. Quiconque a entendu le Père et reçu son enseignement vient à moi. Certes, personne n’a jamais vu le Père, sinon celui qui vient de Dieu : celui- là seul a vu le Père. Amen, amen, je vous le dis : il a la vie éternelle, celui qui croit. Moi, je suis le pain de la vie. Au désert, vos pères ont mangé la manne, et ils sont morts ; mais le pain qui descend du ciel est tel que celui qui en mange ne mourra pas. Moi, je suis le pain vivant, qui est descendu du ciel : si quelqu’un mange de ce pain, il vivra éternellement. Le pain que je donnerai, c’est ma chair, donnée pour la vie du monde."
Chers frères et sœurs dans le Christ, Vous qui êtes venus en si grand nombre participer à ce pèlerinage national, ainsi que vous tous qui suivez chez vous par les médias. Nous, évêques de Madagascar, nous vous adressons notre profonde gratitude pour avoir répondu à notre invitation et pour avoir fait vivre spirituellement ce jubilé initié par le Pape François. Avec vous, nous reprenons le chant de Marie : « Mon âme exalte le Seigneur » et nous redisons avec elle : "Que rendrai-je au Seigneur pour tout le bien qu’il m’a fait ?"....
Lire la suite...Le Père Innocent Bizimana, Provincial des Salésiens de Don Bosco de Madagascar et de l'Île Maurice, nous présente, au nom de toute la Famille Salésienne de la Province, les vœux de bonheur en cette Solennité de la Nativité du Seigneur.
Lire la suite...Le court métrage "Zatti, notre frère" (Argentina, 2020) se concentre sur l’un des épisodes les plus difficiles de sa vie. Nous sommes à Viedma, en 1941: à 60 ans, Zatti est contraint de quitter l’hôpital qu’il a fréquenté pendant des décennies. Sa foi et sa force sont mises à l’épreuve.
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